Présentation rapide
Frédéric GODEST (jusque là, pas de surprise si vous êtes arrivé sur cette page),
Né en 1994 à Vernon, aujourd’hui basé à Rouen, j’ai attrapé le virus de la photo au collège, armé d’un appareil familial et de talents… disons “en rodage”. Mais la passion, elle, était déjà là.
C’est en 2018 que les choses sérieuses ont commencé, avec l’achat de mon premier appareil photo – payé avec mes propres économies – pour immortaliser un roadtrip aux USA. Depuis, il ne me quitte plus : fêtes de famille, week-ends entre amis, concerts, anniversaires… et surtout mariages.
Au fil des prises de vue, j’ai compris ce que j’aimais vraiment : capturer les moments de vie, les émotions et les ambiances, tout en cherchant une composition qui raconte une histoire. Après quelques (très) audacieuses expérimentations en retouche, j’ai trouvé mon style : des couleurs chaleureuses, intemporelles et pleines de vie.
Les débuts - La culture “glisse”
Les années collège, mes années “skatepark”.
La culture skate et celle des sports extrêmes vont toujours de pair avec les vidéos, les photos et la musique. C’est là que tout a commencé : j’ai mis un pied dans la musique (guitare, musique électronique, DJing), dans la vidéo (filmer, monter, trouver la bonne bande-son) et, bien sûr, dans la photo, en essayant d’imiter les couvertures mythiques du magazine Thrasher.
C’était aussi l’époque des premières soirées et des concerts improvisés des groupes de copains — autant d’occasions de continuer à capturer en images et en vidéos ces moments uniques.
Mon premier (vrai) appareil photo
En 2018, cap sur les USA.
Pour ce voyage, j’ai acheté mon premier “vrai” appareil photo : un petit hybride (qui me regarde sûrement depuis là-haut, RIP). C’est là que j’ai découvert tout ce qu’un boîtier pouvait offrir. On dit que le matériel ne fait pas tout… c’est vrai, mais ça aide quand même !
À partir de ce moment-là, mon appareil ne m’a plus quitté : concerts, balades, soirées… toujours à portée de main. Les photos se sont nettement améliorées, même si on n’était pas encore sur du chef-d’œuvre — il faut bien commencer quelque part.
Une passion qui se renforce
Puis est arrivé 2020, et avec lui… le COVID.
Les événements étant devenus plus rares, j’ai voulu en profiter pleinement, pendant et surtout après, car — souvenez-vous — on ne savait pas si on allait être reconfinés, ni pour combien de temps (douce époque…).
J’ai donc pris davantage de clichés. Et plus on photographie, plus le style s’affine et plus les automatismes viennent. C’est aussi à ce moment-là que j’ai compris ce que j’aimais vraiment capturer : les émotions, les scènes de vie spontanées, les ambiances… Ce sont ces éléments qui donnent toute leur valeur à une photo avec le temps. Ils permettent de se replonger dans l’instant, car l’image raconte quelque chose au-delà de sa netteté ou de son exposition parfaite. (Est-ce une excuse pour quelques photos floues ? Peut-être…)
Mon premier mariage
2022, mon premier mariage en tant que second shooter.
Ce jour-là, j’ai découvert le plaisir immense de capturer les émotions, les instants spontanés et les ambiances uniques qu’offre un tel événement. Quoi de plus intense qu’un mariage pour raconter en images l’énergie et l’histoire d’un jour unique ? Le hasard fait parfois bien les choses.
Depuis, mes images sont plus nettes, mon style s’affine… et je n’ai plus besoin de me réfugier derrière l’excuse : “l’important, c’est l’instant, pas la netteté”.
Aujourd’hui
Aujourd’hui, la passion est devenue une évidence.
Je développe mon activité autour de ce que j’aime le plus : les mariages et l’événementiel. Un univers où je me sens pleinement à ma place : il y a de la vidéo, de la musique, des émotions, des scènes de vie, des ambiances… et surtout, des photos à capturer et à partager.
La boucle est bouclée ? Presque… l’histoire continue.